Philip K. Dick's Electric Dreams
Basé sur les histoires courtes d'un des auteurs les plus prolifique de science fiction, cette série explore l'humanité en 10 épisodes indépendants. De 5 à 5000 ans dans le futur, chaque histoire de l'anthologie questionnera ce que signifie être humain dans des mondes uniquement ambitieux, enracinés et pourtant ...
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| Terminée | Américaine | 50 minutes |
| Drame, Science-Fiction | Channel 4, Amazon | 2017 |
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1.02 -
Impossible Planet
Impossible Planet
Deux employés désenchantés du tourisme spatial accèdent à la demande d'une riche dame âgée, organiser un voyage vers une planète disparue, la Terre. Alors qu'ils se dirigent vers une autre planète qu'il font passer pour la Terre auprès de la vieille dame, les remords rongent l'un des employés.
Diffusion originale : 24 septembre 2017
Diffusion française :
24 septembre 2017
Réalisat.eur.rice.s :
David Farr
Scénariste.s :
David Farr
Guest.s :
Geraldine Chaplin
,
Benedict Wong
,
Jack Reynor
,
Bekka Bowling
,
Justin Butcher
,
Georgina Campbell
,
Annes Elwy
,
Malik Ibheis
,
Christopher Staines
Tous les avis
nicknackpadiwak
blasko| Avis favorable | Déposé le 29 octobre 2017 à 12:23 |
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Beaucoup mieux pour moi cet épisode, plus dans la simplicité et dans l'émotion. J'ai trouvé l'ensemble poétique et agréable à suivre. |
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Pas beaucoup plus emballant que le premier épisode, même si l'histoire est belle. Mais plusieurs choses plombent le résultat :
1 - C'est trop long, un quart d'heure de moins aurait été salutaire.
2 - Il y a une nouvelle fois beaucoup de clichés pour permettre à l'histoire d'arriver à ses fins. Exemple quand le robot devient inquiétant, ses yeux s'illuminent ..en rouge. Ou la copine de Norton présenté de manière à être détestée dès sa première apparition (filmé de loin, look coincé et caractère arriviste et acariâtre)
3 - La fin est devinable dès qu'on voit Irma, car une actrice jeune maquillée en vieille, cela veut dire qu'un moment ou l'aitre, elle jouera sans son maquillage.
Donc, toutes ces détails plombent le visionnage et empêchent le vaisseau de bien décoller et de nous amener à l'émotion désirée.
Dommage, car l'idée générale est loin d'être moche.